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Cette affirmation peut vous paraître surprenante, voire incroyable. On entend régulièrement ce discours: en raison des faibles salaires des Chinois et de leurs abominables conditions de travail, la Chine tire vers le bas les salaires des autres pays et aggrave leur chômage. On accuse également la Chine de maintenir artificiellement à un bas niveau la valeur de sa monnaie, ce qui rend ses exportations encore meilleur marché, et plus cher le prix des produits qu'il importe.
Une gaffe, notamment dans un contexte politique, est un acte ou une parole particulièrement inadaptés à une situation. Mon ami chroniqueur Michael Kinsley (fondateur deSlate.com) a inventé une nouvelle catégorie: les gaffes de Washington. Selon lui, il y a gaffe quand un homme ou une femme de pouvoir lâche une ou plusieurs vérités en public. Des vérités qui, d'ordinaire, sont tues, car elles pourraient nuire à sa carrière. Naturellement, cela se produit dans tous les pays. Plus d'un politique a ruiné sa carrière pour avoir exprimé par inadvertance sa véritable opinion.
Dimanche, pendant que les Colombiens choisissaient démocratiquement leur nouveau président [Juan Manuel Santos, dauphin désigné d'Alvaro Uribe, a remporté l'élection face à Antanas Mockus], des millions de leurs voisins les enviaient. Il y a de quoi.
La nécrophilie, c'est l'attirance sexuelle pour les cadavres. La nécrophilie idéologique, c'est l'amour aveugle des idées mortes. Figurez-vous que cette pathologie est plus courante dans sa version politique que sexuelle. Faisons un test. Allumez la télé ce soir: je parie que vous tomberez sur un politicien passionnément amoureux d'idées qui ont déjà été mises en œuvre et se sont avérées des échecs. Ou sur des gens qui défendent bec et ongles des thèses maintes et maintes fois infirmées par des faits incontestables.
Dans l'Espagne divisée d'aujourd'hui, seuls deux sujets semblent faire l'unanimité. Le premier, c'est qu'il est tout à fait possible que l'équipe de football d'Espagne revienne d'Afrique du Sud avec le titre de championne du monde. Le second, c'est qu'il est tout à fait impossible que les responsables politiques espagnols se mettent d'accord pour offrir à leur pays un gouvernement d'unité nationale capable de faire face à la crise économique. En sport, les Espagnols excellent au foot. En politique, au ping-pong.
Il est fort probable que vous n'ayez jamais entendu parler de Zhu Min. Cet économiste chinois, jusqu'ici méconnu du grand public, pourrait ces prochaines années prendre des décisions qui pèseront sur vous et vos proches. Le Dr Zhu a, en effet, des chances d'être le prochain patron du Fonds monétaire international (FMI).
Avant d'aborder le choc économique qui secoue l'Europe, je voudrais vous parler de la bulle des chihuahuas en Californie. «C'est de la folie, nous sommes envahis par les chihuahuas», a déclaré Deborah Campbell, la porte-parole de l'Agence de protection des animaux de San Francisco. «Il y a des jours où on reçoit jusqu'à huit chihuahuas abandonnés», a-t-elle regretté. A Los Angeles et à San José, les chihuahuas constituent déjà 40% des animaux recueillis par les associations protectrices de chiens.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad et son homologue brésilien Luiz Inacio Lula da Silva ont insisté dimanche 16 mai sur le renforcement de leurs relations bilatérales, selon un compte-rendu officiel iranien de leur première rencontre. Il ne mentionne pas la question du programme nucléaire de la République islamique. Seule allusion voilée à ce dossier censé être au centre de la visite de Lula à Téhéran, M. Ahmadinejad a «remercié le président brésilien pour son soutien aux droits de la nation iranienne et ses positions pour réformer l'ordre mondial».
Tout a commencé par une tragédie grecque. Cela s'est poursuivi avec une zarzuela espagnole. Et le point culminant sera peut-être un opéra explosif allemand. La crise économique qui frappe l'Europe s'étend, se diversifie et s'aggrave. Si cette tendance ne s'inverse pas, le projet le plus imaginatif et novateur en matière de géopolitique mondiale -l'intégration européenne- risque de mourir.
Que se passerait-il si la Palestine proclamait son indépendance? Ce ne sont ni des spéculations, ni un scénario tiré par les cheveux. C'est ce que Salam Fayyad, le Premier ministre palestinien, a promis s'il ne parvient pas à trouver un accord avec Israël.
Il y a vingt ans, la probabilité que des hauts représentants d'une institution fassent l'objet d'un scandale qui entache leur image avoisinait les 20%. Aujourd'hui, elle est de plus de 80%. C'est la conclusion d'Oxford Metrica, une société de conseil britannique spécialisée notamment dans la reconstruction de l'image de marque. Et plus il s'agit de marques réputées, plus les préjudices causés par le scandale sont importants.
La Russie est le plus vaste pays du monde; son territoire représente 12% de la planète. Pendant que les Russes qui vivent à l'une des extrémités du pays vaquent à leurs activités de l'après-midi, leurs compatriotes à l'autre bout de la Russie sont couchés: pour eux, il est 10 heures de plus.
C'est l'histoire d'un chef de l'Etat qui nie que son pays est en crise. Ses ministres et porte-parole dénoncent une conspiration internationale des spéculateurs et des médias contre le pays. Mais les difficultés économiques ne cessent de s'aggraver et elles sont de plus en plus difficiles à contester.
Quel est, selon vous, le prix qui vous touche le plus? Celui de vos courses alimentaires? De l'essence? Le taux d'intérêt de votre crédit immobilier? Le cours d'un euro? Tous ont leur importance. Le prix des matières premières, de l'énergie, les taux d'intérêt ou le taux de change déterminent notre qualité de vie et reflètent la répartition du pouvoir entre les nations, la présence ou l'absence des nouvelles technologies, le progrès de certains pays et le déclin d'autres.
Rien ne va plus pour Obama. La réforme de la santé, l'un des principaux engagements du président américain, a échoué. Personne n'en veut. Parallèlement, l'économie américaine se porte mal. Il a remis à flot les riches financiers de Wall Street qui étaient sur le point de sombrer, alors que les Américains pauvres perdaient leur logement. Cela a donné lieu à de vives rancœurs intestines au sein des partisans d'Obama.
Vivre tranquillement sans avoir à travailler... Voilà qui donne envie! Mais attention, une enquête récente montre que ceux qui ont fait de ce rêve une réalité souffrent d'une importante détérioration de leurs capacités cognitives.
On le sait, les responsables politiques nous mentent. Nous avons l'habitude qu'ils disent une chose et fassent son contraire. Dans de nombreux pays, il semble que les gouvernants n'encourent aucune conséquence majeure quand ils mentent ou font des promesses dont tout le monde sait qu'elles ne seront jamais tenues. Ou quand leurs descriptions de la réalité sont totalement déconnectées de ce qui se passe vraiment. Ce sont des tendances universelles; les exceptions (les pays où cela n'existe pas) sont rares. Mais s'habituer à ces mensonges, les tolérer, c'est les encourager.
Le collectif «24 heures sans nous» a appellé à faire du lundi 1er mars une «journée sans immigrés» afin de démontrer leur place dans l'économie des pays d'accueil. Cette initiative nouvelle a des ramifications dans plusieurs pays européens.
Quelle est, selon vous, la principale cause du terrorisme islamique? Serait-ce la pauvreté, l'injustice, l'absence de démocratie, le désespoir, le conflit israélo-palestinien, la religion, une cause inconnue...? La réponse à cette question est aussi essentielle que surprenante. Elle est essentielle parce que tant que nous ne comprendrons pas les causes du terrorisme islamique, il nous sera impossible d'y remédier. Et elle est surprenante parce que, en réalité, nous ne savons pas grand-chose sur les raisons qui poussent un individu à mener un attentat-suicide pour tuer des innocents.
Depuis plus de 40 ans, les principaux magnats des affaires se rendent chaque année à Davos pour rencontrer leurs pairs venus du monde entier. Et depuis presque un demi-siècle également, les «sommités de la guerre» se retrouvent tous les ans à Munich.