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Jorge Botti, le président de l’organisation patronale vénézuélienne (Fedecamaras), a prédit que si le gouvernement ne débloquait pas plus de dollars pour financer les importations, il y aurait une grave pénurie de produits de première nécessité. Ce à quoi le vice-président Nicolas Maduro a répliqué:
«Nous n’allons pas donner plus de dollars à Fedecamaras, mais plus de douleurs au crâne.»
C'est toujours la même chose. Quelque part aux Etats-Unis, un homme souffrant de problèmes psychologiques et fortement armé massacre un groupe d’innocents. Lors de la dernière tuerie, 20 enfants et 6 adultes ont trouvé la mort. S’en suivent émotion, indignation et débat acharné sur la nécessité de limiter l’accès aux armes à feu. Et puis plus rien. Jusqu’à ce qu’un nouveau massacre se produise. L’espoir, c’est que cette fois ce soit différent et que l’indignation rende les réformes possibles. La seule bonne nouvelle, c’est qu’au moins la société n’a pas perdu sa capacité d’indignation.
Malala Yousafzai et Savita Halappanavar. Il ne s’agit pas d’un virelangue, ce sont les noms de deux personnes différentes à tous points de vue, mais dont l’histoire a un point commun: elle met en lumière des aspects aussi tragiques qu’encourageants de notre monde, à l’aube du XXIe siècle.
Malala Yousafzai est une Pakistanaise de 14 ans. Il y a un mois, alors qu’elle rentrait de l’école en autobus, elle a reçu une balle qui lui a traversé la tête et le cou, pour finalement se loger dans son épaule. Elle a survécu par miracle et se trouve aujourd’hui en convalescence dans un hôpital du Royaume-Uni. Son péché? Militer en faveur de l’éducation des jeunes filles.
La réélection du président Obama en a surpris plus d’un. En effet, selon les sondages pré-électoraux, ni Barack Obama, ni son adversaire, Mitt Romney, ne jouissaient d’une avance significative.
Et là réside la plus grande surprise de ce scrutin: comment est-il possible qu’un Obama qui, il y a à peine quatre ans, avait déchaîné les passions dans toutes les régions des Etats-Unis, à travers toutes les catégories sociales, communautés, religions, générations et tous secteurs économiques, ait aujourd’hui à quémander des voix, foyer par foyer, pour être réélu?
L’article de David Barboza, qui est à la tête du bureau du New York Times à Shanghai, a fait l’effet d’une bombe. Et il se peut même que vous soyez directement touchés. Le journaliste révèle des faits de corruption imputables à la famille de Wen Jiabao, le Premier ministre chinois.
Quelle sera l’innovation technologique qui pèsera le plus sur l’issue électorale de novembre aux Etats-Unis? Il s’agit du data mining (l’exploration de données) et, plus précisément, du microtargeting (le microciblage).
Mitt Romney est candidat à la présidence de l'une des machines politiques les plus anciennes et les plus puissantes du monde. Henrique Capriles est le candidat d'un amalgame de partis politiques vénézuéliens aussi transitoire que rudimentaire. Les deux hommes font face à des présidents sortants à l'habileté politique indéniable et qui jouissent d'un important soutien populaire –mais la comparaison s'arrêtera là.
Le réchauffement climatique, la crise de la zone euro et les massacres en Syrie se poursuivent de plus belle, sous les yeux impuissants de la communauté internationale.
Dans les trois cas, les dangers sont immenses et laissent présager la souffrance de millions d’hommes et de femmes. Des idées de mesures à prendre, il y en a. Et pourtant, rien ne se passe… En dépit des réunions de ministres, des sommets de chefs d’Etat, des exhortations de personnes influentes: leaders des milieux politique, social et universitaire. Rien du tout. Les médias nous abreuvent quotidiennement d’angoissants flux d’information, qui confirment que ces trois problèmes s’aggravent à la vitesse grand V. Et l’on n’y peut rien.
Les relations entre les entreprises et leurs clients sont truffées de conflits d’intérêts sur fond d’hypocrisie, de marketing et de pub. Car au bout du compte, les entreprises commerciales veulent obtenir de leurs clients les plus grosses sommes d’argent possibles, tandis que ces derniers veulent débourser un minimum. La fidélisation des clients est la principale motivation qui pousse les entreprises à bien traiter leur clientèle. Rien de nouveau jusque là.
Ce n’est pas simple d’avoir été président. Selon une vieille plaisanterie, les ex-présidents, c’est comme les vases chinois: ils ont beaucoup de valeur, mais personne ne sait qu’en faire. De fait, beaucoup de chefs d’Etat ne savent pas non plus que faire de leur vie une fois qu’ils quittent la fonction suprême. Certains continuent de s’imposer un rythme effréné (c’est notamment le cas de Bill Clinton). D’autres, comme Vladimir Poutine, s’arrangent pour ne jamais quitter le pouvoir. D’autres encore, à l’image de Silvio Berlusconi, passent leur temps à manigancer leur retour au sommet de l’Etat.
C’est l’un de ces jours qui auront marqué l’histoire. Et pourtant, il est presque passé inaperçu dans les médias internationaux. Selon les calculs du Trésor australien, le 28 mars 2012, la somme des PIB des pays les moins avancés a dépassé celle des PIB des pays les plus riches.
«Ce jour-là a mis fin à une aberration qui a duré un siècle et demi!»
Si politiquement, l’Italie est plus mal en point que l’Espagne, économiquement, c’est cette dernière qui est la plus touchée. Mais dans la mesure où les troubles politiques sont en général préjudiciables à l’économie, les situations peuvent s’inverser. Le contexte politique de l’Espagne pourrait bien se détériorer, et l’avantage économique qu’affiche pour le moment l’Italie peut très vite s’évaporer.
Pourquoi la crise européenne prend-elle tant d’ampleur? Parce que l’on ignore quoi faire? Parce qu’une poignée de puissants dirigeants concentrent un maximum de pouvoir? Ou peut-être est-ce tout le contraire: ceux qui doivent prendre les décisions nécessaires n’ont pas suffisamment de pouvoir pour le faire? En fait, je crois que l’enracinement de la crise est imputable à la maléfique conjonction de ces trois facteurs.
Premier choix: une austérité pas très tendre, avec plus d’impôts, des services publics réduits ou de moindre qualité, moins de subventions et de sécurité sociale. Eh bien, c’est ce que prennent Allemands –à condition qu’on serve la même chose à leurs voisins européens. Pareil pour le secteur bancaire international, qui souhaite que les Etats utilisent l’argent récolté pour rembourser leur dette.
De tout temps, il a existé des pays dirigés par des hommes aux comportements criminels. Dans la plupart des 193 nations du monde, l’utilisation malhonnête des deniers publics et la «vente» de décisions gouvernementales au plus offrant sont monnaie courante.
Alors qu’une part croissante de la population mondiale a accès à Internet, les inégalités entre riches et pauvres se creusent. Demain, ces deux phénomènes vont converger. Nous aurons l’Internet des nantis, et celui du reste du monde.
L’Argentine est le pays qui compte le plus grand nombre de psychologues par habitant. Cette donnée m’est venue à l’esprit quand la présidente Cristina Fernández de Kirchner a annoncé qu’elle nationaliserait Repsol-YPF, la principale compagnie pétrolière du pays. Partout dans le monde, les psychothérapeutes essaient d’aider leurs patients à modifier des habitudes qui nuisent à leur santé (se droguer, fumer, etc.) ou des fonctionnements qui les font souffrir (choisir une compagne ou un compagnon qui ne leur convient pas, accepter d’être maltraité, etc.). Sigmund Freud a appelé la tendance à reproduire des schémas qui affectent le sujet la «compulsion de répétition».
A la conférence de Yalta, seuls trois chefs de gouvernement étaient présents. Au sixième sommet des Amériques àCarthagène-des-Indes, il y avait 30 dirigeants de toute l’Amérique.
Fini le temps des superpuissances. Finie l’époque où un empire, ou un pays très puissant, imposait ses desiderata aux autres. Bien sûr, il y a encore des Etats dont le pouvoir et les ressources suffisent pour contraindre –ou tout au moins inciter– d’autres pays à se conduire de telle ou telle manière. Mais c’est de moins en moins fréquent ou tenable. A présent, même les Etats-Unis, aussi forts soient-ils au plan militaire ou économique, ne peuvent éviter que des pays agissent de leur propre chef.
Aux yeux d’une Europe secouée par la crise, la Colombie et ses réalités peuvent paraître très lointaines et sans grand intérêt. Il est évident que les contextes sont radicalement différents. Mais une part de l’expérience colombienne revêt un intérêt pour les Européens. Si la Colombie a réussi un miracle alors qu’elle présentait de nombreux handicaps et fléaux, d’autres pays en sont capables.